« Nous donnons une semaine au gouvernement à compter de ce vendredi 1er mars. Si toutefois,
le protocole d’accord n’est pas respecté, le SLECG usera de tous ses moyens légaux pour faire respecter ses différents points de l’accord du 10 janvier 2018 par le gouvernement », a menacé Aboubacar Soumah lors de l’assemblée générale du Slecg.