Malgré la décision du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Yero Balde, d’accepter finalement le recensement des enseignants des universités public du pays, le Slecg maintient son mot d’ordre de grève, à partir de ce mercredi 10 avtil.
Selon le secrétaire général du Slecg, Aboubacar Soumah joint par focusguinee après la décision du ministre Yero, il y a beaucoup des points d’accords que le Gouvernement n’a pas respectés. Ce n’est pas seulement pour ce cas de recensement des professeurs d’universités public. Et, pour lui, tant que tous les points d’accords ne dont pas respectés, les enseignants ne vont pas reprendre les cours.
« La lettre du ministre de l’enseignement supérieur n’est pas conforme, elle ne dispose d’aucune en-tête de son département. C’est sur un papier ordinaire qu’il a écrit, avec débarras. Et rien ne nous prouve que c’est une correspondance d’un ministre. Pire, sur le point concernant le rétablissement de nos camarades mutés, à leurs postes initiaux, il dit que ce n’est qu’à l’ouverture prochaine qu’il va les réaffecter. Il tient ces propos, sans se conformer au protocole d’accords », précise Aboubacar Soumah.
Louis Diallo pour focusguinee
