Lors de la Can 2019 en Egypte, les joueurs duSyli de Guinée ont brillé par leur incompétence notoire, a constaté focusguinee.
Et cependant, plusieurs milliards de francs Guinéens ont été gaspillés pour la participation de cette fameuse équipe à la Can 2019. Des sources bien informées indiquent que beaucoup de fonds ont été utilisés pour les joueurs et ces nombreux supporters qui ont été transportés inutilement de la Guinée vers l’Egypte pour faire ‘’je ne sais quoi ?’’.
Car, les primes des joueurs et les frais d’hébergements de tout ce monde s’élèvent à plusieurs centaines de dollars sans compter les frais de séjour des différentes délégations des ministères des sports et de l’économie ainsi que la fédération Guinéenne de Football et staff technique.
Il semblerait que chaque délégué de ces différentes structures a perçu 40 mille dollars comme frais de missions durant le court séjour effectué en Egypte. Quel gâchis s’il s’avère !
Depuis l’échec du syli, tout le monde s’acharne sur le président de la Féguifoot, Antonio Souaré, qui pourtant, fait beaucoup pour le football Guinéen. Cet homme d’affaire, amoureux du cuir rond est victime aujourd’hui de sa largesse et son sens de mobilisation pour hisser le football Guinéen au sommet.
A rappeler que c’est grâce à Antonio Souaré que le football Guinéen a connu une ascendance surtout les clubs qui participent maintenant aux compétitions africaines et aussi cet homme d’affaire a ressuscité le championnat guinéen qui était mort depuis belle lurette.
Force est de reconnaître que le président de la Feguifoot, Antonio Souare est très mal entouré en commençant par les membres de son institution en passant par les journalistes laveurs des chats qui sont acec lui. Chacun cherche à profiter auprès d’Antonio Souare.
Il sied aux autorités du ministère des sports en partenariat avec la féguifoot de prendre toutes les dispositions pour faire les diagnostics du football Guinéen. Histoire de trouver une solution fiable pour sortir le football de notre pays de l’ornière.
Mettons la balle à terre et tournons-nous vers l’avenir avec plus de lucidité et détermination. Car, l’échec du syli lors de la Can 2019 n’est pas la fin du monde. Le meilleur est à venir.
A.Foulah Diallo