Il serait lié à certains impondérables, qui sont d’ordre techniques, a-t-on appris.
Outre, les difficultés pour la CENI d’exécuter certaines tâches, suivant les délais prévus dans le calendrier électoral, on apprend aussi que des discussions sont en cours pour intégrer l’agenda du référendum.
Nos sources révèlent qu’il est alors envisagé un rapport d’au moins une semaine ou tout au plus de deux semaines.
En Guinée, aucune décision de ce genre, celle qui consistera à ajourner la date des élections, ne pourrait étonnés avec une CENI qui se fourvoie.
A rappeler que dans un passé récent, cette institution avait annoncé pouvoir organiser les mêmes élections, ce 28 décembre 2019, avant qu’elle ne soit publiquement, plus tard désavouée par l’Organisation internationale de la francophonie, le partenaire technique, qui a prouvé le contraire de ce qu’elle avait dit.
Lu sur mosaiqueguinee