Le Rallye Africa Eco Race traverse Guerguerat malgré les aboiements du polisario et les glapissements de leur maître algérien
Fidèle à son discours terroriste et à proférer des menaces à l’emporte-pièce, les polisariens auraient menacé d’entraver, le 13 janvier 2020, le passage du Rallye Africa Eco Race en Mauritanie par le passage frontière de Guerguerat.
Pour cela, ils ont mandaté les quelques sahraouis, basés à Dakhla, acquis à leur idéologie terroriste et au casier judiciaire fortement chargé par les Tribunaux de Dakhla, pour ériger, le 11 janvier 2020, un camp près de ce poste frontière maroco-mauritanien afin de faire capoter ce rallye.
Face à cette action des « baltajias du polisario » portant atteinte à l’Unité Nationale du Maroc, à son économie et qui véhiculent les idées polisariennes, tout en servant l’agenda algéro-polisarien, la population de Dakhla a vivement protesté pour condamner cette attaque qui dénie au Maroc le parachèvement de son intégrité territoriale.
D’autres terroristes polisariens, dépêchés en renfort depuis Tindouf avec la complicité de l’armée algérienne, sa marraine, ont tenté de distribuer des tracts portant des slogans délirants et provocateurs, puisés dans la phraséologie fantasmagorique du polisario, visant à porter atteinte au patriotisme des Marocains. Par ces actions de brigandage et de gangstérisme, avec l’aide des responsables algériens, les polisariens ont voulu défier, une fois de plus mais de trop, les injonctions de l’Organisation des Nations-Unies.
Mais, malgré la ferme mise en garde du Secrétaire Général de l’ONU, une meute de polisariens a empêché temporairement, le 13 janvier 2020, au vu et au su des éléments de la MINURSO, les participants de traverser le couloir terrestre de Guerguerat, en direction de la Mauritanie, ignorant son avertissement exigé le 11 janvier 2020.
Des agissements qui méritent une ferme riposte de la part du Conseil de Sécurité pour qu’il remette en place ces polisariens et leurs mentors algériens inconscients des conséquences de tels agissements sur la région sahélo-saharienne.
Il est une chose que les responsables algériens et leurs larbins polisariens doivent incruster, une fois pour toute, dans leur tête de linotte, est que les Force Armées Royales marocaines se feront un plaisir de leur foutre une déculottée dont ils s’en rappelleront jusqu’à la fin des temps, tout comme celle reçue en 1963.
Il est bon de rappeler à ces têtes vides algériennes, que le Maroc n’a point oublié que l’Algérie se doit de rendre des territoires marocains se trouvant au Sud et à l’Ouest de l’Algérie, à savoir les régions de Tindouf et de Colomb-Bechar, usurpés au Maroc par la France et rattachés, en 1950, à sa colonie algérienne et les archives nationales françaises sont éloquentes à ce sujet.
Aussi le temps est venu pour que les responsables algériens arrêtent de gesticuler pour se dérober, tels des aigrefins, afin de refuser à les restituer comme il fut convenu par l’accord signé, le 06 juillet 1961, entre le Roi Mohammed V et le Président du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA), Ferhat Abbas. La honte internationale ! Renier la propre signature du Chef du GPRA ou autre responsable algérien, ce n’est qu’en Algérie que cela existe !
Quant à l’organisation terroriste qu’est le polisario, créée de toute pièce par Boumediene et abritée sur le sol algérien par ses responsables incompétents, elle devrait fortement s’inquiéter sur son sort.
Il certain que le chef terroriste Brahim Ghali verra sa tête mise à prix par les autorités fédérales américaines pour son appui à l’Iran après son message de condoléance suite à la mort de Qassem Soleimani et son activisme terroriste, tout comme les chefs des terroristes s’activant en toute liberté sur le territoire algérien, à savoir, le polisarien Adnane Abou Walid Al Sahraoui, chef de l’Etat Islamique dans le Grand Sahara, et son autre compère polisarien, Abdoul Hakim Al Sahraoui, ainsi que le chef terroriste Mokhtar Belmokhtar, dit « le borgne », connu pour être un officier des renseignements algériens, pour déstabiliser les pays sahelo-sahariens au profit unique des militaires algériens qui ne souhaitent que s’en mettre plein les poches.
Les responsables algériens ne devraient pas dormir en toute quiétude et encore moins envisager à se soigner en Afrique, Europe, en Amérique, au Moyen-Orient ou en Asie car ils seront la cible des Etats-Unis qui mettront un terme final à leurs activités terroristes immondes en mettant, à eux aussi, leur tête à prix et il en est sérieusement plus que temps.
Au final, les participants ont traversé sportivement et en toute quiétude, le 13 janvier 2020, la frontière maroco-mauritanienne sans rencontrer le moindre hurleur polisarien ou entendre le glapissement d’un fennec algérien.
Il convient de rappeler que le rallye Africa Eco Race est à sa douzième édition cette année 2020 et a vu la participation de 688 concurrents de 34 nationalités représentant les cinq continents et 266 véhicules.
Farid Mnebhidepuis Maroc pour focusguinee