Ces images viennent de Boffa où le préfet, entouré de l’armée travaille à la place de la CENI. C’est lui qui détient le registre, c’est lui qui fait tout.
C’est de cette façon que tout se passe sur le terrain Guinéen. L’administration qui est censée être neutre devient la locomotive de la fraude.
C’est avec cette armée que le pouvoir compte faire un braquage électoral mais elle trouvera la résistance des citoyens.
L’opposition a raison de refuser cette mascarade électorale. Elle a raison d’exiger des conditions de transparence pour toute participation aux élections. Elle a raison de s’opposer à toute élection sans elle. »
Conakrymag