Alors que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sème la psychose dans le cœur des Africains, le professeur Raoult donne de la quiétude à ces derniers. À l’en croire, l’écosystème de l’Afrique pourrait lui être un facteur clé de protection contre le coronavirus.
Dans un passé très récent, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), par la voix de son directeur général en la personne de Tedros Adhanom Ghebreyesus, invitait les pays du continent africain à se préparer « au pire ». Ceci, en raison de la pandémie du coronavirus qui sévit dans presque tout le monde entier, surtout en Europe et en Amérique du Nord.
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Soutenant cette thèse de l’OMS, se projetant dans le futur, le secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies (ONU), Antonio Guterres, estime que l’Afrique pourrait enregistrer des millions de morts, si les pays industrialisés ne lui prêtaient pas main-forte.
Mais, vu le nombre de cas infectés sur le continent, l’Afrique est moins contaminée. Puisqu’elle compte plus de douze mille (12 000) cas infectés et moins de cinq cent trente (530) décès à sa portée jusqu’au 8 avril 2020. Un chiffre très bas si l’on va le comparer aux autres continents.
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«… Il est bien possible qu’il y ait une espèce de protection qui pourrait être due à l’écosystème africain en particulier. Et parmi, ces éléments, le fait de la prise de beaucoup d’antipaludiques », indique Professeur Didier Raoult, directeur de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée.
Profitant de l’occasion, l’homme a rappelé que la chloroquine, comme tous les antipaludiques, est efficace contre la pandémie du Coronavirus. Pour rappel, le traitement du Dr Raoult, à partir de l’hydroxychloroquine, n’est pas approuvé par la communauté scientifique. Pourtant, Raoult l’utilise pour guérir ses patients.
