Tout juste embauché, un chauffeur de poids lourd a très mal vécu son licenciement au point de pulvériser la voiture de son patron.
Elle va marcher beaucoup moins bien, forcément. La rutilante Ferrari blanche d’un patron d’une société de transport n’a pas survécu au coup de sang de l’un de ses employés. Avant cette folie, l’histoire partait pourtant bien pour ce chauffeur de poids lourd de Chicago, embauché alors que la pandémie de Covid-19 a détruit plus de 20 millions d’emplois aux États-Unis en avril. Sauf qu’entre le salarié fraîchement recruté et son supérieur hiérarchique, les choses vont rapidement se gâter comme le rapporte Carscoops.
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Au bout d’un seul chargement effectué, le patron de la société a constaté l’instabilité mentale de son chauffeur. Il aurait alors décidé de ne plus travailler avec lui en lui signifiant « de manière calme et sans mots blessants » d’après un témoin cité par Carscoops, après l’avoir entièrement indemnisé pour ces quelques jours de travail. Un licenciement précoce très mal vécu par l’intéressé.
Après avoir demandé au patron si la Ferrari GTC4 Lusso blanche garée près du bâtiment était la sienne, le chauffeur de poids lourd, dans une manoeuvre complètement folle, a littéralement pulvérisé la voiture de luxe de son patron. Suite à l’incident, le propriétaire a appelé la police et le conducteur fou a été arrêté par la police. La prochaine fois, le propriétaire de la Ferrari réfléchira peut-être à cette manière de licencier 2.0 pour éviter tout problème.
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