Le serial killer et violeur Brahim Ghali mis à nu
Il est des criminels qui coulent des jours heureux et continuent d’échapper à la sanction de la justice. Brahim Ghali, chef du polisario, est de ceux-là, grâce à la protection de ses mentors algériens.
Les turpitudes de Ghali, viennent une nouvelle fois, d’être mise à jour, au moment où les séquestrés des camps de Tindouf en Algérie passent par des moments difficiles en raison de la pandémie de la COVID-19 qui ne les épargnent pas.
La funeste renommée de Brahim Ghali, chef de gang polisarien, vient une nouvelle fois abâtardir sa sinistre réputation de tueur à gage dont les abus et les exactions en font le personnage le plus haï dans les camps des séquestrés Sahraouis marocains de Tindouf.
En effet, le Forum de Soutien aux Autonomistes de Tindouf (Forsatin) vient de révéler sur la place publique l’immense fortune détenue par le misérable Brahim Ghali qui lui permet d’entretenir une multitude de femmes en raison de ses mariages à répétition.
Mieux, l’assassin Brahim Ghali, homme lige des responsables algériens, excelle dans l’instrumentalisation de jeunes femmes sahraouies, après les avoir violées pour les retourner afin de piéger ses opposants dans des scandales sexuels. Il fait, d’ailleurs, l’objet d’une plainte pour viol déposée en Espagne à son encontre par une jeune Sahraouie des Camps de Tindouf.
On le dit à la tête d’une fortune indécente accumulée à la faveur du détournement à grande échelle des multiples dons humanitaires de la société civile espagnole destinés au profit des embastillés sahraouis marocains dans les camps de la mort de Tindouf.
Outre le vol systématique de l’aide humanitaire, le coupe-gorge Brahim Ghali et son frère Ali Ould Sayed Al Mustapha ont coutume de détourner d’énormes quantités de carburant qu’il revendent en toute impunité dans le Nord de la Mauritanie.
Le fruit de cette rapine alimente allègrement la fortune personnelle du criminel et soi-disant chef du polisario ; une fortune illégalement acquise et tellement indécente qu’il ne s’est même pas soucié des 200 millions de dinars algériens que lui a dérobés son neveu.
De même, ses enfants ne se privent pas des fréquents voyages à l’étranger, où ils suivent des formations dans de prestigieuses écoles, au moment où la jeunesse sahraouie se morfond dans le dénuement et la marginalisation dans les camps des séquestrés de Tindouf.
Au fait, ce bandit de grand chemin saharien algérien, qu’est le défroqué Brahim Ghali, ne peut se rendre en Europe, aux Etats-Unis d’Amérique, au Canada ainsi que dans de très nombreux pays d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et du Moyen-Orient pour soigner son cancer du foie en stade très avancé car il est très attendu par la justice de nombreux pays pour répondre de ses crimes odieux, notamment en Espagne où un mandat d’arrêt international a été émis à son encontre en novembre 2018 par la justice espagnole pour génocide, torture et viol.
Farid Mnebhi depuis Maroc pour focusguinee