Une fille de 15 ans a contracté une grossesse de son père adoptif. D’après nos sources, la mineure aurait eu des contacts charnels à plusieurs reprises avec ce monsieur. L’acte s’est passé dans le quartier Kaporo, commune de Ratoma. Aux dernières nouvelles, le mis en cause se trouve présentement à la Brigade spéciale de protection des personnes vulnérables sise à la Bellevue.
A en croire les témoignages recueillis sur place, le père adoptif est un tradipraticien qui profitait de l’absence de sa femme commerçante pour abuser de sa fille adoptive. De façon répétée, il s’en est suivi une grossesse. Le Commandant de la brigade spéciale de protection des personnes vulnérable a été saisi du dossier par la compagnie de la gendarmerie de Ratoma.
« Ce monsieur qui est le papa adoptif des deux enfants, la nuit dès que sa femme voyage il profite sur les enfants. Comme il est guérisseur il a trouvé un talisman qu’il a mis aux hanches des enfant pour leur faire comprendre que si vous avez ça aux hanches vous n’allez jamais tomber enceinte. La plus grande comme par curiosité un jour elle a enlevé ce talisman. Le monsieur est venu il a constaté qu’il y’a rien aux hanches de la fille. Il lui demande et la fille répond qu’elle a en mare cela. Et il passe à l’acte et la fille tombe en grossesse » nous a expliqué Adjudant-Chef Bernard Tinkiano.
Comment cette affaire a pu éclater au grand jour ? Notre officier chargé du dossier, répond. « Sa tante lui a pris pour lui demander ah je doute de ton état de santé, allons à l’hôpital. Une fois là-bas, les visites effectuées prouvent que la fille était enceinte de quatre mois. Sa tante lui demande qui est l’auteur de cette grossesse, dans un premier temps à elle dit à cette dernière est ce que si je te dis l’auteur de ma grosse tu vas y croire ? elle répond par oui et elle affirme que c’est son papa ».
Interrogé sur la question, l’inculpé n’a pu dire grand-chose. « Il dit qu’il est devant les faits qu’il ne peut pas lui-même expliqué parce que les fait lui dépassent » a affirmé l’officier.
Au moment où nous communiquions avec notre interlocuteur, le dossier du mis en cause était déjà prêt pour être présenté devant le procureur du TPI de Dixinn.