Dans un rapport intitulé ‘’bilan de la répression policière du 19 octobre au 3 novembre 2020’’, des activistes guinéens ont fait un bilan des violences post-électorales en Guinée.
Selon ledit document, au moins 46 personnes ont été tuées et près de 200 personnes ont été blessées par balles entre le 19 et 3 novembre dernier.
« Pour faire passer le hold-up électoral lui permettant de s’octroyer son troisième mandat, Alpha Condé a déclenché, dès le lendemain du scrutin, une vaste campagne de terreur contre les populations guinéennes », notent-ils, ajoutant que l’’écrasante majorité des victimes de ces assassinats ciblés appartient à la même ethnie que le principal opposant.