Quatre des cinq hauts cadres emprisonnés de l’UFDG viennent de bénéficier d’une liberté conditionnelle, en raison de leur état de santé devenu préoccupant, nonobstant leur hospitalisation au CHU d’Ignace Deen.
El Hadj Chérif Bah, Ousmane Gaoual, Abdoulaye Bah et Cellou Baldé ont été conditionnement mis en liberté, ce vendredi, 16 juillet 2021, afin qu’ils puissent se soigner convenablement.
Prions Dieu qu’ils n’aient pas été empoisonnés, puis libérés, par stratégie machiavélique.
Quant au cas d’Étienne Soropogui, rien n’est encore précis, comme il n’était pas signalé malade, ni admis dans une structure sanitaire, du moins au moment de la mise en liberté conditionnelle de ses quatre autres compagnons d’infortune. Espérons qu’il puisse bénéficier, lui aussi, d’une liberté conditionnelle.
Sincères félicitations et meilleures santé à nos héros.
Mandian SIDIBE
Journaliste exilé à Paris