« Pounthioun, je ne saurais te rendre aucun hommage car en vérité, malgré notre proximité (comme sur cette photo de #ces_années_là sortie de mes archives), je n’ai pas été présent à tes côtés quand il le fallait. Pris que je suis dans la frénésie d’une vie qui nous échappe pourtant. Je te demande pardon. Merci pour tout ce que tu as fait pour moi, à mes débuts: corrigeant et redressant anonymement mes articles décousus pour me faire briller alors que tout le mérite te revenait. Je te demande pardon grand frère et dors en paix… », Aladji Cellou Camara.