Revenant sur la mode d’employabilité du journaliste par le groupe fréquence médias dont l’activité, dit-il, avait démarré le 3 juillet 2020,
Selon Maître Alpha Yaya Dramé, avocat du journaliste Mohamed Mara, son client révèle « avait été débauché de l’entreprise Espace FM pour travailler non pas dans une radio qui existait mais pour faire exister une radio ». Pour lui, tout avait été conclu dans un contrat de travail dans lequel il était dit que son client allait occupé les fonctions de « Directeur adjoint de la radio, Directeur des stratégies du développement de la formation des affaires juridiques et animateur, avec un salaire de base de 10 millions de francs guinéens et les différences d’indemnités qui correspondent à 10 millions ce qui fait le tout à 20 millions ».
Or, précise l’avocat du journaliste, son client a commencé à percevoir un salaire de 2 millions sur les 20 millions prévus. « La dernière qu’il a reçu ces 8 sur 29 millions. Il n’a jamais reçu les 35% de son salaire » indique t-il
En dépit de tout, ajoute-t-il, son client a été également « successivement démis de ses fonctions et remplacé par des personnes mêmes qui étaient dans son bureau, et que lui-même a entretenu pour être recruté sans accord préalable. »
Cependant, selon maître Dramé, le journaliste Mohamed Mara réclame « des arriérés qui s’élèvent à 263 millions de francs guinéens » à l’entreprise Groupe Fréquence Médias