C’est la Guinée qui m’intéresse, pas une maison, si on veux quelque soit le prix a payé, j’ai donné ma vie pour que la démocratie soit exposée, on a tiré combien de fois sur ma voiture même la plainte que j’avais formulé jusqu’à présent il n’y a pas eu de suite. J’ai demandé à voir le colonel, mais lui, il n’a pas voulu me voir et pourtant chaque jour des leaders sont reçu pour quoi, on ne sait pas. On ne peut pas abandonner, le combat pour l’instauration de la démocratie et de l’état de droit doit continuer et c’est pourquoi nous avons demandé les militants de l’ufdg de sortir le 23 juin pour répondre l’appel lancé par le FNDC.
La Guinée, c’est notre Guinée à tous et nous allons manifester si nos droits sont confisqués.
Nous lançons un appel encore aux colonel qu’il se ressaisisse pour que nous puissions nous engager dans une transition apaisée, pour éviter les erreurs du passé comme ils l’ont dit, mais la principale erreurs du passé en 2010 la transition c’est d’avoir donné le pouvoir à quelqu’un qui l’a pas gagné, ça eu des effets parce que tous le travaille après c’était comment naturaliser L’UFDG qui avait la légitimité, on a pas fait de route, l’unité nationale a été mal mené, les infrastructures se sont dégradées et la division le tribalisme a pris la place sur la confiance et la fraternité de la tolérance. Voilà le problème le bilan, évitons ça. Nous avons proposé 15 mois et c’est suffisant. Continuons le combat croyez moi la victoire sera de notre côté la vérité, parce que nous nous battons et Dieu le sait pour la Guinée, la réconciliation, le développement de ce pays. C’est possible. Cette division, ses conditions médiocres de vie ce n’est pas des fatalités, on peut changer avec la volonté.
Amadou Sow sur la toile
