L’un des sujets les plus épineux en matière de violences sexuelles et viol comme abus de pouvoir reste celui de la militante Sahraoui Khadijatou Mahmoud qui a vécu l’enfer sur le sol algérien.
Violée à l’âge de 18 ans par le chef du Polisario, Brahim Ghali, cette fille garde les séquelles des abus sexuels d’un homme qui abuse de son autorité pour forcer les jeunes filles à se soumettre à ses envies téméraires.
L’histoire remonte à 2010 où le Chef du Front armée du polisario était ambassadeur du Pseudo à Alger, voulait échanger un visa contre les faveurs sexuelles et comme la jeune traductrice a refusé, il a décidé de ne rien échanger du tout et de se servir séance tenante.
La victime a porté ces accusations en 2013 et 2018 devant la justice espagnole. Ça a beaucoup traîné donc et il y a une raison qui explique ce retard. Le Polisario a tout fait pour faire en sorte que rien ne bouge même au Parlement européen. Mais les choses ont changé et la plaignante a été reçue le 13 octobre par l’institution européenne sur invitation de la Commission des droits de la femme et de l’égalité des genres.
un parlementaire européen a condamné violemment les actes de violence contre les femmes par les hommes abusant de leur pouvoir et autorité.
Fidèle à sa politique répressive , le Polisario use de tous les moyens illégaux pour payer trop cher les lobbies européens , et ce afin de barrer la route, sur la militante sahraouie voire même la liquider.
