Vous savez quelqu’un qui est chaque fois en milieu fermé, on a du mal à l’insérer. Ailleurs les gens travaillent, on les envoie, ils font des travaux, ils font des activités. Même les enfants qui sont là il y a d’autres qui étaient soit à l’école primaire où quelque part. Mais, depuis leur détention ils ne suivent plus les cours. Et, le président de la République a été très clair, les enfants qui sont là, ils font qu’il ait la conception des programmes de formation et d’éducation. Un enfant même s’il a tué, mais à l’interne qu’est-ce que nous faisons pour eux, parce qu’il va sortir après il va être en retard. Il faut que ces enfants en fait puissent avoir la possibilité de passer l’examen, de passer le BEPC. Tout est à refaire dans ce pays », indique le ministre de la Justice et droit de l’homme