La réponse fut immédiate, face, à l’appétit démesurément aiguisé des menus fretins. Qu’aucune cabale ne peut prospérer. Qu’aucun machin ne fera affaiblir, ni doucher les espoirs. Qu’à l’UFDG, il y a Cellou d’abord, loin devant tous et les autres après, loin derrière.
Le doute n’a plus sa place et la machination non plus. Cellou reste et demeure le seul maître à bord. A l’UFDG, il n’y a pas deux Capitaines dans le bateau et, il n’en aura jamais comme le témoigne la réplique cinglante, la réponse farouche face à toutes velléités gourmandes d’un trouble-fête dont le destin, ni le regard ne dépasse le bout de son nez. Comme aime à le rappeler que le raisonnement ne trahira jamais la taille.
La cabale a échoué, le coup du traître tombe à l’eau et s’écroule comme un château des cartes.
Les mauvais réalisateurs de film feront les frais de leur manque de mise en scène, professionnellement cinématographique. Avec la mauvaise répartition des rôles ou le drôle d’action que vais-je dire encore ?
L’assemblée générale de l’UFDG de ce samedi, va au-delà de la routine hebdomadaire. C’est une réponse sans appel, pour dire et faire comprendre à toute personne qui voit midi à sa porte qu’il fait un rêve, lointainement, réalisable mais pas au vivant du guide suprême dont nul canicule ne saura liquéfier. Les images de la mobilisation en font foi. Je jure.
A l’UFDG, au prime abord et en somme, c’est la base et les militants.
Il faut être nain et surpris de son destin pour voir autre que la réalité. N’est-ce pas vrai ?
Le message, à l’UFDG, reste le même : C’est Cellou Dalein Diallo, d’abord et lui, après. Jamais un autre!
Que celui qui n’est pas content, porte plainte !
Wassalam !
Source: lerevelateur224.com
Par Habib Marouane Camara, éditorialiste.