Mort tragique de mon frère et ami.
Boubacar Diallo, « onkoule » pour les intimes n’est plus. Il a trouvé la mort dans un tragique accident de la circulation, la nuit du 11 avril, lendemain de la fête de ramadan vers Sonfonia.
Bouba comme aimaient l’appeler certains, était un jeune frère, ami et confident. Sans faire l’hypocrisie du mort, Boubacar était honnête, sincère, généreux, sociable, travailleur, courageux, sérieux. Excusez du peu. Il pratiquait le commerce avec un télé centre qu’il gérait à Soloprimo Koloma. Ces derniers temps, il exerçait le métier de transport en commun avec un tricycle, qui a été, malheureusement, la cause de sa mort. Bouba qui laisse une veuve et trois enfants, a été inhumé le vendredi 12 avril au cimetière de Koloma après la prière de 16h 30 en présence d’une foule, loin de son Poredaka natal.
Mes condoléances les plus attristées à son épouse, à sa maman, ses frères, ses sœurs, ses parents, amis et connaissances sans exception. Mes défunts parents, lui et tous nos devanciers que Dieu le Miséricordieux leur accorde son paradis éternel. Amina !
Toi dont la disparition brusque va créer un immense vide, toi qui avais fait le long déplacement de Conakry à Pita lors du décès de ma chère et regrettée mère, tu vas nous manquer, beaucoup. Que surtout et surtout qu’on ne vous oublie pas dans nos prières.
Bah Mamadou
