En attendant le référendum constitutionnel, préalable indispensable à la tenue d’une présidentielle en 2025, la pression monte à Conakry, et le pouvoir du président de la transition se raidit.
Mamadi Doumbouya, le président de la transition en Guinée, et son épouse, Lauriane, au Grand Palais du peuple, à Pékin, le 4 septembre 2024, peu avant l’ouverture du Forum sur la coopération sino-africaine
« Prési ! Prési ! » Sur le tarmac de l’aéroport international Ahmed-Sékou-Touré, à Conakry, une poignée de partisans accueillent Mamadi Doumbouya avec ferveur. Face à eux, militaires et ministres patientent sagement pour saluer le président de la transition. Ce lundi 12 août, Mamadi Doumbouya rentre de Kigali, où il a assisté, la veille, à l’investiture de Paul Kagame…
Avec Jeune afrique