Thierno Monénembo réagit : « S’ils m’arrêtaient ce serait avec joie que je me retrouverais dans la même cellule que Foninké Mengué, Billo Bah, Saadou Nimagua et Habib Marouane Camara, si jamais ils vivent encore, ces glorieux compatriotes enlevés en plein jour par les sbires de Mamadi Doumbouya. S’ils me tuaient, ce serait un honneur pour moi de mourir comme sont morts Fodéba Keïta et Diallo Telli… », dans un communiqué de presse