Si les journalistes représentent ailleurs le 4e pouvoir, en Guinée cette corporation est relégué au dernier plan même pas second plan sous l’air CNRD.
Des ondes des radios brouillés, restrictions internet, journalistes brutalisés, arrêtés e voire séquestrés à travers de garde à vu, tels sont les maux que subissent actuellement des médias qui constituent un baromètre de la démocratie, sources de tout développement pour un pays.
Plusieurs journalistes ont été mis aux arrêts hier jeudi 18 janvier à la Maison de Presse suite à l’appel de manifestations lancé par le Syndicat de la Presse Privée de Guinée.
